
L'homme en question fit apparition près de la porte de la salle de musique. Il n'était certainement pas entrée par la porte principale. À moins que sa chère fille l'avait fait entrer quand il l'avait envoyé dehors. Non cela ne se pouvait pas, elle ne laissait jamais entrer les inconnus à l'intérieur de leur demeure.
- Bon, bonsoir gentil homme puis-je vous aider ? Vous, vous prénommez ? ajouta Charles.
L'homme avançait sans toutefois faire le moindre son. Il avança et fit plusieurs pas en leur direction.
-Monsieur on peut vous aidez murmura Éléanore.
Charles commençait à se faire du mauvais sang.
Pourquoi l'homme ne parlait'il point. Un énorme brouillard apparut dans la salle de musique, il engloutie le paysan et la médecine hélas aucunes deux n'eux le temps de faire le moindre mouvement avant qu'ils ne soient complètement repérable par qui que se soit à l'intérieur du château, Charles avait une grande difficulté à respirer et commençait à vaciller, tandis qu'Éléanore c'était évanouie, depuis quelques secondes. La porte de la salle de musique s'ouvrit violemment et la femme de Charles fit apparition. Elle n'y voyait rien, rien du tout, le brouillard avait totalement engloutie le moindre centimètre de la pièce. Elle avança dans le brouillard à la recherche de Charles et d'Éléanore. L'homme était toujours là, m'enfin il l'était, aie-je halluciné une ombre ou y avait-il réellement quelqu'un il y a trente secondes. Elle avançait encore de quelques pas, puis tomba sur un bout de papier à moitié brûlée par une chandelle. Elle prit soin de ne pas froisser le bout de papier, il n'y avait que les mots '' Ne, personne, blesse et Harold Edward.'' Où tout cela menait à la fin et où était rendu Charles, Éléanore et ce soit disant intrus qui avait fait infraction dans leur demeure.
***
Il c'était passé quelques instant entre le moment oùils avaient disparuent et le moment présent. Éléanore fût la première à reprendre conscience, hélas Charles était toujours dans les vapes. Quelques mèches de ces cheveux touchaient son front tâché d'une mince couche de sang. Éléanore avait la gorge sèche et elle pouvait à peine parler. Un grand boom se fit entendre ce qui éveilla Charles de son malaise. Ce n'était hélas que le vent des branches, qui se fracassait les unes contres les autres. - Vous allez bien Charles, votre front saigne dit mielleusement Éléanore.
- Oui je vais bien, mais où sommes nous nom de Dieu s'exclama Charles. Il tenta de se lever, mais vacilla un moment.
- Ne vous levez, pas je vais essayer de nous trouver un peu d'eau, afin de nous désaltérer.
C'était si frais et humide, je crois que l'on se trouve dans une grotte, les paroies sont mouillées et il n'y a pas de plantes médicinales. Je vais aller explorer, tandis que vous vous reposez dit'elle en partant vers un chemin qui menait vers l'extérieur. Elle marcha quelques mètres sur un sol humide et boueux, puis se rendit à l'extérieur. Elle ne se rendait pas compte, mais elle n'était plus à la même époque. Une différence d'environ deux-cent-cinquante à trois-cent-cinquante ,c'était passé entre l'entrée et la sortie de la grotte. Éléanore ne comprenait plus rien, elle était ébahie par tous les gens qui se trouvaient devant elle, oh mais, qu'était-ce que ces robes courtes, ces gens qui courraient partout n'avait'il aucune classe. Où se trouvait'elle ? Elle en avait pas la moindre idée et se dirigea vers un homme, qui avait l'air mal en point. Sa barbe était longue il avait une odeur d'urine qui envahissait l'espace près de l'endroit où il se trouvait.
- Monsieur, où nous trouvons-nous s'exclama Éléanore. Le monsieur ressemblait à un pauvre, un clochard, quelqu'un qui n'avait pas beaucoup de sous ou pas du tout. L'homme en question marmonna dans sa barbe quelques notes puis tendis un bout de journal à Éléanore, avant de cracher sur ses souliers.
- Qu'est-ce que...'' juillet 2015''.Où suis-je atterrie ?
-Vous êtes à Saint-Marguerite mademoiselle et votre accoutrement du Moyen-âge ne rend pas mieux. Éléanore rouspéta dans sa manche et se dirigea vers une jeune adolescente.

- Hey madame vous ressemblez étrangement à Katherina Pierce de l'émission '' The vampire diaries''.
- Kathe ? qui ? de quoi parlez vous ?
Pouvez-vous me dire où pourrais-je trouver un puits ou une fontaine pour remplir ma gourde. - Heu madame, vous êtes mieux d'aller au dépanneur, c'est juste de l'autre côté de la rue. Éléanore écouta attentivement les directions de cette jeune femme et emboîta le pas vers la rue. Elle se demandait bien comment elle allait traverser, elle se mit en ligne comme les gens qui se trouvait au coin de la rue. Tout à coup,tous les gens avancèrent et les automobiles stoppèrent net leur route. Éléanore suivit les gens et entra dans la boutique où on pouvais lire sur l'enseigne: dépanneur. Il y avait pleins de produits qu'elle ne connaissait points. * Elle pouvait lire gomme à mâcher sur un emballage et slush sur un autre. Elle alla au comptoir pour demander de l'aide, afin de trouver de l'eau.
- Bonjour monsieur où pourrais-je trouver de l'eau pour remplir ma gourde. -
Je sais pas d'où vous venez ma petite dame, mais ici au dépanneur de bonne heure, il faut payer pour aller aux toilettes, pas d'argent pas de toilette. Éléanore le regardit avec un regard interrogateur. Je ne voudrais qu'un peu d'eau pour aider mon ami Charles, il n'y a donc personne ici pour m'aider. Une mère et son enfant prit une bouteille d'eau, un sac de chip saveur bbq, paya et balança la bouteille d'eau dans les mains d'Éléanore.
- Tien et arrête de geigne grand-mère, aller oust ! Éléanore remercia la jeune mère et rebroussa chemin jusqu'à la grotte. Après maintes reprise pour traverser chemin jusqu'à la grotte. Après mainte reprises pour traverser la rue , elle se découragea et s'assit sur un banc. Pourquoi n'y avait'il pas de chevaux, bruyant c'était absolument très bruyant ici. Après, plusieurs minutes les automobiles s'immobilisèrent à nouveau et elle pu se diriger à nouveau du côté du clochard. Elle redonna le journal au vieux, puis se dirigea vers la grotte. Elle ne pouvait pas expliquer l'inexplicable à Charles, il devra voir de lui-même. Il était déjà mal en point avec sa tête blessée. Elle entra dans la grotte et le froid l'envahie à nouveau, devait t'elle en parler à Charles ou se taire et essayer de regagner leur royaume. Elle se dirigea vers Charles d'un pas plutôt incertain.
- Bonjour Charles, je suis revenue, je crois que tu n'en croirais pas tes oreilles, si tu verrais ce que j'ai vu.
- Alors gente dame qu'avez vous aperçu de l'autre côté de si impressionnant.
- Je ne sais pas par quel moments commencer, celui où il y a des humains à travers les rues, qui doivent attendre pour ne pas se faire tuer. Des clochards, encore plus désespérant qu'en prison ou encore qu'il m'était impossible de vous trouvez de l'eau.
* Elle tendit la bouteille d'eau à Charles qui ne savait pas trop comment l'ouvrir*.
Après deux ou trois reprises, enfin il pu prendre quelques gorgées, après avoir compris le fonctionnement '' du bouchon''. Il humecta ses lèvres et passa sa main mouillée afin d'enlever le surplus de sang sur son front. - Avez vous ramenez de quoi nous nourrir s'interrogea t'il.
- Euhm et bien non malheureusement, je n'ai point eut le temps de trouver des baies ou du blé.
- Qu'en pensez vous, je vais me reposer, tandis que je vais explorer ce monde si étrange.
- Je n'y voit aucun inconvénients, aller je suis prêt. Charles se dirigea alors vers la sortie de la grotte. Quelques instants plus tard, il comprit qu'il n'était pas dans la même époque qu'à l'intérieur des demeures du royaume.
Cependant, il devait reprendre ses esprits et aller faire l'exploration de ce nouveau royaume. En premier, il faut que je trouve le clochard et ces gens bizarres qui traverse les rues que lorsque que euh, enfin,ce grand truc devient du rouge au vert. Ah ! Il était là bas le clochard, maintenant un peu de courage Charles, tu dois traverser. Après quelques instants, il suivit la foule et alla s'asseoir à côté du vieux homme. Qu'est-ce qu'il puait un haut-le-c½ur monta dans sa gorge, puis un second. Il n'eut pas le temps de terminer son discours qu'il bafouillait, gesticulait dans tous les sens du terme. Le vieillard sentais vraiment l'urine c'était irrespirable. Eh merde, je vais aller voir ce marché de plus près cela fait plusieurs fois qu'il voit sortir des bouteilles identiques à la sienne. C'est qu'il faisait vraiment chaud aussi pour ce temps-ci de l'année. Charles poussa la porte avec aisance, facilitée, puis entra à l'intérieur du dépanneur de bonne heure. Il ne manquait point de nourriture en ce lieu, dit'il en se prenant quelques biscuits, gâteaux et fruits.
Alors comment ça fonctionne ici votre troc mon très cher monsieur.
- Du troc monsieur? d'où venez-vous donc ! Je n'accepte que débit, crédit ou l'argent liquide. Aucun chèque, aucun troc on est en 2015. Charles fouilla dans ses poches et ne trouva pas le moindre sous, mais il avait une petite idée de ce qu'il pouvait échanger à la place de donner au monsieur ce qu'il voulait.
- Que direz vous d'un objet qui vaut une petite fortune à mes yeux.
Ce n'est pas de l'or, ni de l'argent, mais cela pourrait fortement vous intéresser.
- Alors de quoi s'agit'il jeune homme, je commence à perdre patience.
-J'ai une harpe chez moi que je peux vous donner. Hélas, je ne l'ai pas avec moi, mais je peux vous assurer qu'elle vaux cher.
- Je ne prend pas de biens en échange, ni d'argent monsieur, je suis désolé.
- Encore quelqu'un qui n'a pas d'argent aujourd'hui dit une dame assez fortunée.
Elle avait un grand manteau avec de la véritable fourrure, de longue bottes et un sac à main orné. Vous êtes la seconde personne qui débarque habillé comme un paysan du Moyen Âge. Tenez je vais vous payez quelques uns de ses effets, puis vous montrer la friperie du coin mon très cher monsieur. La demoiselle en question paya le dû au caissier, donna les articles à Charles, puis lui fit un grand, sourire. Les jeunes adultes sortirent du dépanneur, à la hâte. Charles ne se sentait pas à l'aise, il se demandait comment il pourrait redonner à cette belle demoiselle. Malgré, sa chevelure excentrique et son habillement étrange, cette jeune femme était réellement jolie.
- Comment puis-je vous aidez mademoiselle marmonna Charles. Quel est votre prénom ?
Fin du chapitre 5